The Gardians
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MessageSujet: " Agissez comme s'il était impossible d'échouer. " Winston Churchill " Agissez comme s'il était impossible d'échouer. " Winston Churchill EmptySam 20 Aoû - 21:14
Anaëlle West
▬ ft. Elizabeth Olsen

Groupe : Elle est une civil et est indirectement Rebelle par le biais de son époux.
Taille : Sa taille de 1 mètre 70 cm est dans la moyenne.
Corpulence : Guère imposante, ni grosse ni mince, elle est délicate et gracieuse, non sans la fermeté propre au danseuse.
Cheveux : Elle a de longs cheveux châtains, plus foncés l'hiver et plus clairs l'été par les rayons du soleil.
Yeux : Ils sont verts et joliment parsemés de petites tâches d'or.
Signe(s) distinctif(s) : Elle se mordille les lèvres lorsqu'elle est nerveuse.
Rayonnante et distrayante, Anaëlle est une compagnie bienveillante,discrète à l'éternelle sourire. Et puis, son regard émeraude qui trahi joliment sa sincérité et son ouverture d'esprit. Il est si simple de sa s'attacher à elle... Son optimiste est contagieux, même dans les pires moments alors qu'elle refuse de laisser tomber et abandonné est hors de questions. Ainsi, déterminée et persuasive de surcroît, la jeune femme n'est pas l'une de celle qui se laisse marcher sur les pieds. Indomptable et sauvage, effectivement. C'est ce côté d'elle qui attire le plus, irrésistible est l'envie de la faire sienne. Cependant, Anaëlle est loin d'être si facilement accessible. Quelque peu méfiante, sa perspicacité et sa débrouillardise lui permet d'éviter les mauvaise surprises ou les situations inattendues. Pourtant, elle est très aventureuse. Osant aller dans les endroits interdits ou ceux qui effraient, elle trouve sans arrêt le moyen de s'amuser dans les dangers. Finalement, en avertissement, ne la pousser pas à bout, car la jeune femme est rancunière et il est difficile de regagner sa confiance, ce lien que vous aviez auparavant.

Lorsqu'elle danse, c'est tout différent. Elle est passionnée, à n'en pas douter. Elle ne le fait pas pour être sous les projecteurs, gagner de l'argent ou subjuguer les foules. Non, elle danse, car cela la calme, lui permet de ce concentrer ou tout simplement de faire le vide, comme si elle était seule. Ses gestes adroits sont également gracieux alors qu'elle démontre combien elle peut être aussi vulnérable que les autres, que le commun des mortels ou aussi ardente que le feux des glaces et le souffle du feu. Douce, délicate... Pure, les mot son faibles à ce qu'elle peut ressentir ou encore à ce que les spectateurs peuvent apercevoir.
Anaëlle West" Il n'y a pas de réussites faciles ni d'échecs définitifs. " Marcel Proust

Âge : Il y a de cela 26 années qu'elle vit le jour.
Métier/études : À l'insu de tous, excepté sa petite sœur qui ait au courant, elle danse de manière indisciplinée et insoumise. Dans un bar ou une boite de nuit, elle ne le fait davantage pour s'amuser, se divertir que pour l'argent que cela lui rapporte.
Nationalité/origines : Sa famille est britannique depuis des générations et elle n'en fait pas exception.
Situation conjugale : La jeune femme est fiancé et bientôt fraîchement mariée.
Situation familiale : Anaëlle est en grande tension avec son père qui a organisé un mariage entre elle et un autre homme. « Il apportera honneur et respect à la famille », disait son père et cela avait le don de l'agacer. Quant à sa mère, cela n'est guère mieux. Celle-ci est très excité à l'idée de ce mariage et ne prenait pas la peine de le cacher. Non seulement elle organisait dans les moindres détails la célébration de l'union, mais elle ne cesse de rappeler à sa fille qu'il est important d'avoir une progéniture. N'est-ce pas assez de s'allier avantageusement ? Cependant, sa petite sœur était là. La plus jeune est si douce, si insouciante que la grande n'avait put se résoudre à fuir le contrat qu'on lui imposait. Si elle l'avait fait, cela aurait été sa chère sœur qui aurait fait ce sacrifice. Non, Anaëlle souhaitait mieux pour sa jeune sœur, de l'amour, le vrai. Elle se résigna, sans souffler mot de la raison à sa sœur qui ne comprenait pas pourquoi elle se laissait tout à coup faire. Puis, il y avait sa tante. Elle l'appréciait sans plus. Tandis qu'elle vivait dans un monde de richesse, sa tante avait persévéré à faire en sorte que sa sœur et elle ne deviennent pas capricieuse ou, autrement dit, de petites pestes. Ainsi, la jeune femme lui en était reconnaissante, mais, comme ses parents. cette dernière s'attendait maintenant qu'elle fasse ce qu'on s’attendait d'elle.
Situation financière : Sa famille étant noble et donc plutôt bien fournit en ce qui avait trait à l'argent, Anaëlle n'avait pourtant jamais abusé de cela. Apprentissage de sa tante, elle refusait de se laisser tenté par la gourmandise et la luxure et préférait vivre pleinement la vie comme la plupart la vivait en étant quand même heureux. C'est pourquoi elle travaillait comme serveuse, au détriment de ses parents et qu'elle à couper la carte de crédits qui lui avait donné ses parents. D'ailleurs, par l'union du mariage, elle adopterait la vie de son mari qui était moyenne, financièrement. Tout allait pour le mieux ou presque.

Anaëlle. S’épanouissant comme une fleur dans une clairière baignée par les chauds rayons du soleil, douce et délicate comme les pétales et gracieuse et adroite en suivant le rythme du vent, insouciante… Le tissu de soie virevoltait  autour des jambes fines, soulevait en prenant le courant d’air et tournoyait au gré des mouvements de la jeune femme. Elle sautillait, bondissait et riait en parcourant les hautes herbes sèches de la clairière.
Elle n’était pas seule… Sa jeune sœur avait voulut l’accompagnée lors de sa promenade cette après-midi là. Anaëlle sortait souvent pour s’éloigner de la maison emplit de richesse, de caprice et même de luxure, si l’on osait jusqu’à le dire. L’air frais naturel, non-pollué par l’humain, simplement l’odeur de l’herbes coupées, des fleurs innombrables et la présence des animaux non loin étaient des plus vivifiants. Elle était peut-être née britannique, de sang noble et élevée dans cet état d’esprit, mais sa tante avait veillée à ce qu’elle et sa petite sœur ne deviennent pas l’une de ses nombreuses pestes que peuplaient les familles riches. Ainsi, contrairement à la plupart des jeunes filles dans leur situation, elles savaient cuisinier, faire le ménage, coudre et même s’acquitter des tâches les plus ragoûtantes. Elles avaient appris à faire ce qu’elle avait et devait faire.
Daisy surgit d’entre les plus grandes herbes et sauta sur sa grande sœur, mais cette dernière l’entraîna dans sa chute et elles roulèrent plusieurs fois l’une sur l’autre en tentant de prendre le dessus. Tranquilles, souriantes, heureuse, elle ne se doutait pas que les vieilles pratiques persistaient encore au sein des familles riches.

***

Anaëlle se mordillait la lèvre, signe habituelle de sa nervosité grandissante. Assise sur la chaise en bois de bonne facture, la jeune femme regardait les bibliothèques remplit de livres de toute les époques, les fauteuils en cuir à peine usés et son regard s’arrêta finalement sur le grand bureau de chêne où trônait des papiers et des documents en désordre. Ce bureau avait été, depuis son tout jeune âge, l’antre interdit. Combien de fois elle et sa sœur s’était aventurer dans celui-ci malgré les avertissements ? Elles fouillaient dans les tiroirs, sortant milles et un trésor pour s’amuser aux aventurières.
Le soleil déclinait, laissait une douce et chaude couleur orangé teinter la pièce. Elle attendait depuis un bon moment déjà l’arrivé de son père et avait un mauvais pressentiment, ce qui ne l’aidait en rien à se tenir tranquille. Anaëlle s’agita sur sa chaise, commençant à se sentir mal à l’aise. Son soupire de soulagement en voyant entrer son père par les grandes portes se bloqua rapidement dans sa gorge en apercevant la satisfaction dans le regard de son père. Il tenait un certain contrat et, entendant les voix de sa tante et de sa mère qui n’entrait pourtant pas, elle sentit son estomac se nouer. Cela n’augurait rien de bon qu’elle reste seule avec son père. Cela lui était arrivé quelques fois lorsqu’elle faisait des bêtises, alors qu’il venait pour la gronder, mais il n’était pas question de cela. Pas du tout…

« Ma fille, ma grande fille ! … »

L’homme qui lui faisait face ne pouvait être son père qui, malgré que stricte, était aimant. Ce n’était pas lui. Comment un père pourrait-il faire cela à sa propre fille ? Comment osait-il lui faire cela ?!
Elle n’avait soufflée mot alors qu’il lui exposait ses raisons et ce que cela leur apporterait, comme si cela allait excuser son geste. En échange de fonds de financement, elle aurait un statut convoité, serait en sécurité, ferait honneur à la famille et aurait une descendance qui serait bien placée et avantagée… Ne comprenait-il pas que cela n’avait aucune importance ?! Cela ne l’aiderait pas elle, mais son père dans ses affaires d’argent et de pouvoir, elle n’était qu’un instrument que l’on utilisait à ses fins. Elle ne pouvait s’y résoudre, elle ne voulait pas s’y résoudre. Cependant, dans le discours de son… père, elle avait, à contrecœur, laisser tomber l’idée de s’enfuir loin, de laisser tomber  se qu’on voulait lui faire croire être sa famille. Non, car ce serait sa sœur qui serait prise d’assaut par la soif, la convoitise de toujours plus, car tout n’était pas suffisant.
Elle se marierait avec le Chef des Rebelles qui avait besoin d’argent pour les objectifs du groupe, pour l’exaspérante satisfaction de son père et pour la sauvegarde de sa petite sœur.
Contrairement à ce que tous s’attendait, elle entrouvrit les lèvres, mais ni cris ni pleurs n’en sortit. Elle se leva simplement et prit congé en passant devant les airs étonnées, ne captant que celui indécis et triste de sa jeune sœur.

A votre propos

Pseudonyme : P'tite ou parfois Hed', Well', Skölly, par mes personnages anciennement joués.
Âge : J'ai 18 ans.
Commentaire : Je suis dans le Staff, mais je ne vous mordrez pas !

Anaëlle West
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Date d'inscription : 18/08/2016
Habitant
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